-bonjour... Je suis votre professeur de maîtrise du feu... Nanaki Host...
Je sais je suis un loup, et non je ne suis pas méchant... je ne mange personne... Sauf à l'exeption des élèves qui n'en font qu'à leur tête...
Bref de plaisanterie... Je suis un expert en se qui est de la maîtrise du feu, mais je maîtrise aussi l'air... Pas à la perfection, mais je me débrouille... Commençont pas le début... Je me suis présenté à vous, et maintenant c'est à vous de vous présenter...
Léonys se leva et s'avança en avant de la classe.
- Bonjour, je m'appeles Léonys Arkwa ! Je maîtrise quand même bien le Feu.
Sur ces mots, elle entrepris de faire apparaître une flamme et de la faire voler en un gracieux ballet aérien. Puis, elle retourna à sa place.
- Maintenant que tout le monde c'est présenté, parlons un peu de l'origine du pouvoir du feu... Le pouvoir ne consiste pas à créer du feu, mais plutôt à transformer l'oxygène qui nous entoure en feu... Notre pouvoir consiste à produire de la chaleur, et cette chaleur brûle les molécules d'oxygène qu'il y a dans l'air... C'est comme sa que nous créons du feu... Si vous n'êtes pas capable de contrôler la chaleur que vous dégagez de votre corps, il peut y avoir des conséquence... Commençons par un éxersice simple... Vous allez concentrer votre chaleur corporelle vers votre main, ainsi vous allez pouvoir créer une flamme dans le creux de votre main... Ensuite essayez de contrôler cette chaleur pour diminuer et augmenter la grosseur de votre flamme... Faites attetion de ne pas vous brûler ou de brûler votre voisin...
Léonys leva la main et grossit la flamme, avant de la retréssir.
Elle se remit à errer sans but dans ses sombres pensées. Le jour où elle brûla un homme fût la pire catastrophe de sa vie. C'était un beau jour. Celui de ces cinq printemps. Elle espérait ne pas faire de mal à quelqu'un cette journée-là. Elle fit un rêve. Une guerre. Sanglante, violente. Une des pires. À cette époque, elle aurai talors septs années et serait une fière Élève , aidant les Professseurs en apprenant la magie, le combat, les langues. Plusieurs Professeurs, quelques Élèves et très peu de gens des peuples mourraient. Triste, cette fin. Puis, elle se vit, Profeseur, lors d'un ultime combat, mais certes pas le dernier. Une lance éffillée entrait dans son dos, la transperçant de part en part. Puis, poussant un cri d'effroit, elle se rréveilla dans sa chambre, toute en sueur. Le matin dardait ses puissants rayons sur Irianeth et les oiseaux chantaient le retour de la saison chaude. Elle se réveilla, tranquillement, choisisant de chasser lentement ses bribes traumatisantes de son sommeil dernier, et, pantelante et toute penaude, elle se leva. Elle enfila une tunique bleue pâle et lassa ses sandales. Et alla manger un fruit avant de sortir au village.
Lorsqu'elle arriva, elle vit un adulte qui frappait un petit garçon. Choquée, elle s'interposa entre eux, avant que quelque chose de grave arrive. Elle cria à l'homme d'arrêter. Mais, il ne voulait pas! Avec son pouvoir de lévitation, qu'elle avait découvert un an plus tôt, elle poussa le petit garçon un pas plus loin. L'homme, qui avait remarqué la main levée de la filette, lâcha son fils et la gifla violemment. La gamine, àgée de quatre ans, entra dans une rage folle. Personne n'avait le droit de la frapper! Personne! Ses mains se relevèrent brusquement et un feu brûlant sortit de ses petites mains, lui causant une telle souffrance qu'elle s'éffondra au sol en pleurant. Puis, les yeux pleins d'eau, elle vit l'homme se débattre en hurlant comme la mort. Il était en feu! Elle supplia aux flammes d'arrêter leur sinistre besogne. Ce qu'elles firent. Elle s'excusa à genoux devant l'homme, et, tout en pleurant, détala en direction de chez elle.